Tony Podesta, frère du directeur de campagne de Hillary Clinton, a fait beaucoup parler de lui récemment dans le cadre de l’affaire « Pizzagate ». Aujourd’hui, nous vous proposons un petit article illustré pour compléter les informations déjà disponibles sur Internet (mais pas dans les médias mainstream). Avertissement : certaines des images qui vont suivre, si elles ne contiennent aucune violence directe, peuvent tout de même déranger.
Tony Podesta et son frère John sont deux personnalités très en vue à Washington, connues pour leur influence tant en politique que dans le domaine culturo-mondain. Dans le cadre de l’enquête des internautes sur la possibilité d’un réseau pédocriminel d’élite impliquant de hautes personnalités américaines, affaire dite du « Pizzagate » en référence aux indices reliés à la pizzeria « Comet Ping Pong » de James Alefantis, Tony Podesta est apparu comme un personnage important, en raison notamment de son goût prononcé pour des œuvres d’art aux frontières de la pédophilie – et des abus en général.
Nous avons déjà évoqué les goûts artistiques particuliers du clan Podesta en rapportant l’invitation des deux frères à la soirée « Spirit Cooking » de Marina Abramovic. Les internautes ont aussi pu découvrir sur E&R un aperçu des tableaux affichés au domicile de Tony Podesta.
Afin de compléter ces premiers éléments, revenons aujourd’hui sur un article qui a beaucoup circulé sur Internet depuis novembre 2016 et le début de l’affaire Pizzagate : celui du Washington Post qui, en septembre 2004, avait rendu visite à Tony Podesta et sa femme Heather et eu l’immense privilège de pénétrer dans leur domicile.
Selon le journal américain, les Podesta ont organisé à Washington de nombreuses « fêtes artistiques » impliquant des personnalités connues du monde de l’art contemporain. Parmi elles notamment, trois femmes : Patricia Piccinini, Anna Gaskell, et Annee Olofsson.
Ci-dessous, un échantillon de leurs œuvres.
Patricia Piccinini
Anna Gaskell
Annee Olofsson
Bonus : Margi Geerlinks
L’article du Washington Post mentionne la présence dans l’appartement de Podesta de photographies de l’artiste Margi Geerlinks, et notamment, si l’on en croit la description donnée par le journal, des trois suivantes :
Ci-dessous, un aperçu du reste de « l’œuvre » de Margi Geerlinks.
Si votre sang n’est pas déjà glacé par tout cet « art », nous vous proposons une dernière photographie, toujours signée Margi Geerlinks, qui laisse peu de doute sur la nature réelle de l’intérêt que Tony Podesta et un certain nombre d’huiles de Washington portent aux enfants.
Elle est intitulée Butterfly (papillon). Le papillon, qui par sa métamorphose symbolise le passage de l’enfance à l’âge adulte en se défaisant d’une partie de soi est une métaphore couramment utilisée dans l’imagerie pédophile, mais aussi dans les programmes de manipulation mentale, ayant même donné son nom à l’un des plus célèbres d’entre eux, le programme Monarch.
Nous ne vous la montrerons pas directement car, même si le cliché ne tombe pas sous le coup de la loi, nous ne souhaitons pas pour autant diffuser ce genre de photographie. Les internautes qui souhaitent prendre connaissance des goûts (dans tous les sens du terme) qui animent l’oligarchie de Washington pourront satisfaire leur curiosité sur torchgallery.com.